Pace Bresler (two face)

Pace Bresler

Hell's Part
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Ennemies

39 y-o / nred flower's / ft andrew garfield

identité.

peace was never an option

S’imaginait le jeu de mots parfait ? S’imaginait quoi de l’esprit bien trop embrumé, déjà plus vraiment en état de les écrire ces foutues lettres. Pensait l’avoir écrit le E ? Pensait l’avoir écrit cette idée. C’était quoi pour l’être tremblant ? L’idée illusoire d’un d’avenir semblant meilleur, d’un dernier espoir impossible ? De savoir que tout était foutu, dépérissait déjà bien trop pour que quelque chose puisse être sauvé ? Questionnement sans aucune réponse possibilité, de l’être n’ayant jamais pu revenir sur l’émoi premier, l’idée d’une seconde, d’une action. Préfère se l’imaginer, l’anti-paix, l’anti-tranquillité, le caillou dans la chaussure, perdure et emporte tout sur son passage. N’est pas fait pour le calme et la tranquille auxquels l’être désabusé pensait peut-être le pousser de quelques lettres écrites de la main tremblante. Pensait que ça suffirait mais comment trouver le paix dans la zone guerre, dans l’accumulation des êtres errances, luttant pour un bout de pain, un bout de vie à grignoter ronger jusqu’à la moelle.

Pace is the only option

Bresler est ce qu’elle lui a laissé, offert en héritage. Sa propre personne, continue le cycle mauvais, l’éternel recommencement de ce qu’elle était elle-même : un néant, une oubliée, qu’une famille autrefois devait connaitre avant que le vice drogue ne l’est trouvé, ne s’est accompagné de ses autres amies débauches et débrouilles et qu’est-ce qu’elle n’aurait pas fait pour sa prochaine dose. Qu’est-ce qu’elle n’aurait pas offert pour la loverdose. Mais n’est pas ce qu’elle attendait, n’est pas ce qu’elle était, ne pense même plus à elle maintenant. Appropriation de ce nom, le faire rouler entre ses lippes, le faire devenir grand et beau. Il est devenu chic le Bresler quand les habits trop petits sont devenus le costume trois pièces. Quand dans le beau monde s’est mis à bouger, à exister, si maladroitement mais ne l’est plus maintenant, a su comment devenir ce qu’il n’a jamais été. Faire reluire l’identité qu’elle a trop souvent mal aimé. Qu’elle n’a jamais su comment aimer dans ce mal être prenant trop de place.

Peace Breaker

Pace Bresler

âge. rCrasse d’un autrefois maintenant oubliée, ne se marque plus sur la carne le pire d’un passé lointain et éloigné. Ne se laisse plus apercevoir, sur les trente-neuf années venant l’agripper. Vin dans les veines avec le temps ne cesse de se bonifier, meilleur ou pire version de lui-même selon le point de vue continue d’augmenter et de s’acharner. Tempêtes vestiges s’écrivent pourtant le long des sillons de son arbre vie, carne laissant transparaitre dans sa nudité bestiale les pires destructions mises sous silence. N’en parle pas, jamais, de ses anniversaires aux bougies invisibles, n’en parlent pas, ne comptent plus date oubliée, éloignée d’un temps ne semblant plus compter. Année devenue fête constante du renouveau de l’existence. Mais sous l’apparence fortuite, réside toujours le pire. De ce que les années vies ne chasseront jamais complètement. origines. Cabots des rues avides de chairs à canon, chair destruction, de ces moins que rien qui dans la crasse continue de (sur)vivre, sur les pavés grisonnants, hurlant sur les miettes que le monde ose leur offrir, ose leur donner. S’entredéchirant pour quelques billets, dans le pire de ce que fait Leathvenworth, voilà d’où il est né, des entrailles d’un être que la vie avait déjà bien trop bousillé pour s’occuper du chiot qui criait à ses pieds. Préférait sa prochaine dose, prochaine échappatoire dans l’enfer dans lequel un jour ne retrouverait plus que son corps ayant trop agonisé. Hurlement du fauve, de l’enfant sauvage. Sous la carne réside le mélange de l’ADN explication, bâtardise qu’on dira, qu’on hurlera plutôt que de donner une explication. Se cache dans le mystère de ce que la trop abimée saurait même plus dire d’où elle vient, si ce n’est de ce caniveau dans lequel on vient la prendre pour mieux l’y abandonner. L’enfant du néant tient dans le sang des origines anglaises et juives ashkénazes. Fera partie de ces inconnues sur laquelle on revient pas, pas le temps, pas la nécessité. Restera juste l’américain. Changerait quoi le d’où on vient quand le jour devient survie pour le lendemain. Serait encore là, tout comme la génitrice, la gueule dans le caniveaux sans les doigts graciles, sans la main tendue de la matrone restant pour lui la jeune fille main tendue de leurs entrailles avides d'une échappatoire aux rues mouroirs. profession. Ombre pas si silencieuse, présence qu’on ne peut enlever des lieux qu’il vient représenter. Le bras droit, le regard toujours tourné vers la matrone. Certains disent qu’il en serait même le frère, vérité, mensonge, pont se liant entre les deux dans l’antre des plaisirs infinités. S’écrit la partition dans les chants mélodieux, des plaisirs épris avec les divinités corps, dans le bien, dans le mal, dans ce que les désirs cherchent à assouvir. Le sourire toujours là, l’élégance du prince des lieux, la sensation de domination sur le petit personnel, de cette place gagnée brique par brique de son ichor déversé. N’était que le chiot que la belle madone a transformé en chien sauvage, protecteur de tous les instants, pour mieux faire grandir sa prospérité, faire grandir son empire, de ses poings balancés, de sa rage énoncée, de tous les effrayés, par son chien fou présence à ses côtés. Et si l’image a changé, si la prospérité a apporté beaux vêtements, ne pouvait pour l’image montrer les crocs, aussi aisément, aussi férocement, pas dans la façade nécessaire. L’a transformé, éduqué à nouveau, transformé la crasse en élégance, gentleman d’un monde où personne ne lui donnait de place. Ecrase toujours aussi aisément mais différemment. Conseiller sait les gouts d’une cliente chouchoutée, les petits plaisirs qui font dépenser sans compter. Agrandir son empire, leur empire, lui là depuis les tous débuts, depuis bien avant. Mais si la façade se pare d’un charme ne laissant indifférent, faut peu, ~~pour transformer Jekyll en Hyde~~, voir ressortir le monstre des enfers, Cerbère venant frapper juste où il faut, rappeler à ceux qui penseraient l’oublier, que les erreurs sont toujours payées. Rappeler à l’ordre ce qui doit l’être. Frémissent les êtres quand approche le chien des enfers, toutes canines dehors. Craintes dans les êtres quand pourrait tout aussi bien cajoler que déchiqueter, dévorer comme malmener, pas de juste milieu, jamais on ne sait à quoi s’attendre, dans l’être bombe à retardement. Et toujours contre la beauté protégée, viendra se lover, du comportement trop appris, nécessité d’un temps qu’elle n’a fait que renforcer, laisse invisible impossible à enlever maintenant. Protecteur contre les balles se jetteraient pour sa carcasse à elle, confiance faite avec les années, dépendance renforcée pour toujours garder sous sa coupe, son Cerbère. Seule pouvant se targuer d’avoir entre ses doigts la servitude de l’homme et de la bête. statut civil. Vices s’esquissent dans l’absence des limites, le cœur unisson du gentleman et du chien enrage, battent dans la multitude des échanges charnels. A été écrasée avant même de savoir comment pousser fleur amour. S’est éteinte à ses pieds, dans les premiers tourments, dès la première fois où la faim a pris le pas, où la survie est devenue seule fleur cueillie dans le jardin. Arrachée, laissée loin de ses racines, amour fleur jamais plus n’a pu pousser, aucune place ne lui étant laissée. Non, les fleurs du mal se sont emparées du bout de terrain, ont laissé leurs racines poisons tout transformer, tout modifier. Et c’est dans le pire que vient le souffle bonheur, dans ce qui vient s’arracher de quelques coups de reins, de danse du bien et du mal, de plaisir et souffrance, d’un ensemble malvenu. Tout se conjugue à la pluralité, se propage dans ce qui ne peut se contrôler. Fidèle à ses propres envies, propres vestiges, conjuguent le verbe partir à tous les temps. Parfois revenir vient au présent. Méli-mélo des sensations laissant parfois apercevoir de brides sentiments, surface d’un petit attachement mais ne s’enfonce jamais dans les cœurs. Sien noirceur battant chamade dans la colère douleur du chien enragé, dissimulé et si calme dans celui du charmeur gentleman. Se rendre disponibles pour tout le monde et ne l’être pour si peu finalement. Seule la matrone pourrait se targuer d’avoir réussi à planter une griffe dans l’être. Insuffler assez de poisson pour conduire à une dépendance certaine. Chevalier servent pourfendra le dragon sans réclamer le cœur de la pas douce. orientation. Conjugaison multipliée dans ce qui ne connait pas de limites, s’insuffle aussi vite que n’est éloigné. La fin, justifie les moyens, se laisse être plaisir pourvu que cela n’offre avantage à la clé. De savoir comment utiliser l’être corps à ses avantages certains. Dans la multiplicité des rencontres, légère préférence est donnée aux Eve à malmener, aux Lilith venant renforcer les vices en présence. Mais ne refuse jamais un Apollon.

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Rps en courswww titre du rp @sin city
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Para Bellum