(Lux) - fill the earth with sin

tw : violence, sexualité, sang, blessure, vulgarité, trafic d'armes, meurtres

Lux Solal Reid

Hell's Part
Old Town
Sin City
Mirror's

42 y-o / Cosa Bianchi / ft Charlie Hunnam

identité Digit déposé au hasard sur une liste de pontes romains, un jour, parents Reid complètement désabusés, jeunes, peut-être même mineurs, il ne l’a jamais su. Lux. Prénom annonciateur d’une destinée plus grande que lui, espoirs qu’elle mettait en son fils, bâtard qu’elle n’avait jamais voulu, enfant des bas quartiers, enfants de la pollution, de la crasse, des bords de trottoirs humides contre lesquels il aurait dû se briser bien avant de pouvoir respirer. Elle aurait dû l’avorter qu’elle disait, la mère Reid, elle aurait dû l’avorter. Ange tombé du ciel, miracle ou malédiction, Lux était né.âge 42 fois. 42 fois qu’il crève un peu. A l’intérieur. 42 fois que l’enfer l’avale, le recrache, devenu pantin désarticulé au service de sa colère, de sa violence, aveuglé par l’hybris, par ses ambitions, âme, s’il en est encore une, vicié, polluée, crasse, condensé de ce qu’on a pu faire de plus noir et de plus maléfique. Né dans les entrailles de la ville un 15/11/1981. origines. Origine Irlandaises, grisailles et nuages d’orage qui se déchainent dans ses veines, sang noir des mers et des océans les plus déchainés, rejetons maudits d’une ville qui l’a vue naître sans se soucier de lui, qui l’avalera et le recrachera encore des dizaines de fois s’il le faut. Mais les temps où il rampait comme un cafard dans ses caniveaux est terminé. Tête couronnée qu’il compte bien devenir, contrôle, obsession et ambitions viciant autant son air que son sang, il est là, à lorgner sa place, il le sait, elle est pour lui. profession. Véritable Requiem de Mozart personnifié, puissance déchainée jusqu’à la dernière goutte de sueur sur son front. Autant de fracas et d’éclat de feux, boucherie héroïque, voix muette engloutie sous les rafales d’une gatling enragée, ponte du trafic d’arme pour le compte de la Cosa Bianchi, loyal jusqu’à l’os, crèverait bien volontiers des centaines de fois et essuiera sans aucun problème toutes les formes de tortures les plus abominables avant de les trahir. Connait son rôle, son texte, sa place par cœur, sait ce que l’on attend de lui. Amoureux d’une violence avec laquelle il a fini par fusionner, s’exprime mieux avec ses poings qu’avec sa langue, explose os et phalanges, douleur qu’il a fini par ne plus ressentir, à la guerre ou sur le ring. statut civil Elle est son paradis, son oasis, celle pour qui il s’agenouillerai, celle pour qui il se pâmerai, celle pour qui il pourrait se jeter corps et âme dans une mer de charbons ardents, celle pour qui il pourrait s’ouvrir la poitrine pour lui offrir son cœur, elle est celle pour qui il remplirai la terre de péchés, elle est celle pour qui il pourrait crever, celle pour qui il pourrait ne faire qu’un avec la mort, avec cette violence, tomber dans un gouffre sans fin, exterminer toute forme de vie sur terre rien que parce qu’elle le lui aurait demandé, elle est celle qui le contrôle, elle est celle qui lui fait mal, elle est la flamme contre laquelle il vient se brûler, inlassablement, elle est déesse et il n’est qu’insecte, insignifiant, devant elle, elle est tout, il n'est rien. Elle est majestueuse, elle est royale, il n’est que son serviteur, il est celui qui baisse les yeux en entrant dans son repère, celui qui ôte son chapeau en entrant au Viper’s celui qui cherche son regard partout, celle qui rend son monde plus sombre, plus horrible et dix fois plus douloureux, elle est celle qu’il déteste, celle qu’il abhorre, celle qu’il aime, celle qu’il attire, qui l’attire, qu’il repousse, qui le repousse.
«Là-haut, toujours là-haut, toujours tendus, accrochés l'un à l'autre, tenus par l'autre, et en bas, le gouffre.» - Albert Camus à Maria Casares

«Il y a bien longtemps que je ne lutte plus contre toi et que je sais, quoi qu'il arrive, que nous vivrons et mourrons ensemble» - Maria Casares à Albert Camus
orientation. Ne s’est jamais posé la question, la question ne s’est jamais posée. Partage sa couche avec celles qu’il juge dignes, celle qu’il accepte, loup fatigué, préfère sa tanière solitaire et obscure aux lumières et à la douceur de la cuisse d’une femme. N’a juré fidélité à personne, se retrouve pourtant asservi, comme tenu en laisse par celle qui le domine, en un regard. groupe. ROARK'S.

Volutes de fumée qu’il observa d’un œil éteint, filet de sang rougeoyant pourrissant dans sa chevelure, glissant sur sa tempe, coulant sur son poignet à intervalle régulier, métronome parfait d’une vie qui ne tenait plus qu’à un fil, de son regard fatigué, immobile, d’une statue nocturne, d’un ange à remettre dans un cimetière à veiller sur les mortels, figure presque christique d’une souffrance qu’il ne ressentait plus. La douleur n’était plus depuis longtemps. Le thé bouillant glissait dans sa gorge sans qu’il n’en ressente la brulure. Un passé à l’odeur de moisi. Les chambres froides, les cadavres au bout de l’allée, pendant aux crochets des bouchers travaillant pour la famille. La poudre blanche au lieu de la neige l’hiver, le sang pour payer le sang, la colère qui coulait dans ses veines depuis que son sang avait gelé.
Enfant des bordels, enfant des cuisses légères, enfant des contrastes qui pourrissaient la ville, enfant des liasses de billets qui étaient sans doute passées de mains en mains, clôturant sa vente, son exploitation, des souvenirs beaucoup trop lointains pour qu’il daigne s’en souvenir. La rue, l’orphelinat, le carrelage glacé, les coups, le sang… Lux n’était pas le plus grand ni le plus musclé mais c’était le plus violent et de loin. Il ne craignait rien. Ni les punitions, ni les coups, ni les blessures. Et s’il était très courant qu’il rentre à l’orphelinat avec le visage tuméfié et la lèvre éclatée, le bras ouvert ou tordu dans un angle inhabituel, les punitions ne tombaient que rarement. Parce qu’il était teigneux, parce qu’il survivait. Parce qu’il avait une chance là où la plupart allait sûrement finir par crever d’une overdose, encastré dans le radiateur d’une voiture ou dans un caniveau. Jamais adopté. Tant pis. Etrangement attaché à une jeune fille, plus grande que lui, grande sœur qu’elle devint bien vite, enfant à protéger alors qu’il n’en était encore un, frapper pour quelqu’un, avoir une raison, justifier sa violence par la protection de Syre, ne laisser personne l’approcher. Personne. Jamais.
Fort heureusement, pour lui ou pour les autres, la proximité avec Syre lui fut bénéfique. Alors que tout le monde l’imaginait lui aussi crever, provoquer plus fort ou plus nombreux que lui, une balle dans le buffet, deux ou dix, mort violente qu’il aurait sans doute méritées. On le trouva plus raisonnable, plus posé, presque comme s’il réfléchissait avant d’agir ce qui n’avait pas toujours été le cas. S’il gardait sa réputation de chien fou, de queutard manipulateur, il passa finalement sa haine et sa frustration sur une nouvelle passion : l’argent. Rien n’était éternel et il commença à en avoir assez de dépendre de l’argent que l’orphelinat appelait argent de poche, juste assez pour se payer de quoi fumer. Il commença à vouloir se faire de l’argent à lui, à son nom. Mais le loup ne devenait pas agneau juste en se rendant compte de sa condition de loup et Lux ne devint pas un enfant de chœur. Il devint un homme d’affaire redoutable. Sa réputation le précédant, la Cosa entendit bien vite parler d’un chien fou, d’une véritable boule de violence qui aurait fait un pion parfait entre les bonnes mains. Echec et Mat si bien orchestré, convocation qu’on ne tarda pas à lui envoyer, Lux rejoignit les rangs sans broncher, pas débile, il savait pertinemment que ce qu’on lui offrait transcendait les limites de la loyauté. On lui offrait un avenir, une opportunité. De faire quelque chose de la vie qu’il lui restait, de devenir quelqu’un. De mortel, passer au rang de Dieu.
Les seuls moments où il s’interdisait de mentir étaient sans doute quand il négociait et faisait affaire au nom de la Cosa. Il n’était pas débile, il savait qu’il faisait face à des forces qui le dépassait. Lointain était le temps où il se serait attaqué à toute l’organisation seul et qu’il aurait sans doute ravalé ses dents ou mangé les pavés humides de la ville, ce qui ne l’aurait sans doute pas découragé pour un sou et il aurait recommencé, quitte à prendre des coups, quitte à en crever. Il avait passé le cap des 30ans et s’il était encore sanguin, s’il était encore violent, il avait appris à diriger sa colère. A la déchainer contre ceux qu’ils pouvaient écraser et surtout, également contre ceux qu’on lui ordonnait d’écraser. Il avait appris à écouter les ordres et si on lui avait dit ça quand il avait 20ans il aurait sans doute éclaté de rire, incrédule. Mais c’était bien vrai. Il écoutait et obéissait aux ordres. Mais pas de n’importe qui. Il avait aussi appris à faire le tri entre ceux qui valaient la peine qu’il les écoute et les autres qu’il se contentait de dépasser sans leur jeter ne serait-ce qu’un regard de dédain.

Il prit tellement son travail à cœur qu’il en oublia tout le reste, les années qui passaient, son enfance, l’orphelinat, les enfants qui avaient grandi avec lui ,tout ça s’évapora, probablement aidé par les vapeurs d’un whisky ou d’un verre d’absinthe à 70%. Tout ce qui restait furent sa loyauté et Syre. Syre. La seule.
Et puis Vesper. Âme tout aussi torturée que lui si ce n’était plus. Dragon, monstre mythique qu’il ne chercha pas à combattre, déesse aux pieds de laquelle il se pâme, crevant sans doute cent fois quand elle posa le regard sur lui pour la première fois, chien fou qu’elle et elle seule su garder en laisse, contrôlant sa rage mieux que quiconque, véritable maîtresse des lieux, véritable propriétaire de son cœur, jouet qu’il devenait entre ses mains expertes, face à face qui en devenaient presque bibliques tant ils en étaient intenses, tant ils en étaient douloureux, malédictions par centaine qui tombaient sur eux comme une pluie acide à chaque fois qu’ils se retrouvaient et se séparaient, à chaque fois qu’ils se déchiraient, Lux ne vivait plus qu’à travers elle, où qu’il était, elle était avec lui. Ou plutôt, où qu’il était, une partie de lui était avec elle.

.

ses vices Préfèrera cent fois un mauvais gin qu’un bon champagne, main lourde sur les clous de cercueil qu’il se plante régulièrement entre les lèvres, quelques anti-douleurs quand la nuit se fait trop courte et que ses draps blancs deviennent carmin, mais son obsession ne change pas, il n’y a qu’elle, sur son trône. Il lui fabriquerait une couronne d’épines à s’en déchirer les mains et s’en arracher la peau des doigts. Il partirait en croisade à arracher les têtes innocentes pour lui servir à boire dans les crânes évidés de ses ennemis. son regard sur leavenworth. Terrain de jeu immense, avant esclave, devenu maître, vole désormais au-dessus de l’obscurité, l’apporte avec lui, la renforce, la ville l’a vu naître et le verra crever. son organisation Loyal jusqu’à la mort au Cosa. C’est eux qui l’ont sorti de son caniveau, c’est eux qui l’ont façonné, eux qui en ont fait l’homme qu’il est aujourd’hui, le monstre qu’il est devenu. C’est eux. Grâce à eux.

de l'autre côté du miroir
ton prénom/pseudo Ephéméride crédits divers Oolympia origines du personnage. Scenario de l’incroyable @Vesper Lockhart exciting

un dernier mot ? J’vais demander l’avis du public Jean Pierre

Para Bellum

JE. ME. MEURS.
hiiii

ok je suis la rpgiste la plus heureuse et chanceuse de la terre, lux is here, LUX IS HERE VOUS ENTENDEZ ?! pardon je vais me calmer, un jour, ~~peut-être~~.
bienvenue chez toi, officiellement, en plus avec une fiche bien remplie déjà, j'ai eu de quoi me régaler, faire vibrer mes prunelles. cuti

je me suis gavée de tout c'que j'ai pu lire, rongeant mon désir de partager ta plume. hrt

soon;

la ++ belle des splendeurs omg:

je, pamoison, amour, défaillance. wow

tout, absolument tout est merveille, jtm moh

@Vesper Lockhart
Hello you hrt

(

)

ce choix de scénario parfait là
inluv

et en plus tu nous fait l'honneur d'une fiche bien remplie là,
ohlala quel plaisir, puis quelle fiche aussi & surtout oww

je vais stalker comme jamais moi jvous le dis hein
(j't'ai à l'oeil aussi, tu fais pas trop mal au kokoro de ma vesp ok??)
bienvenue en enfer! fight

@Mega Raw Le scenario c'est pas moi c'est la pépite de Vesper qui l'a écrit hihi

(Jvais faire attention au coeur de Vesper promis !!)

Merci merci merciiii hrt2

Lux Reid a écrit:@Vesper Lockhart
Hello you

( )

ça y est, j'ai enfin édité. oww

ET CE GIF MAMA, voilà qui va finir dans mon profil si vite, si vite. hrt

@Vesper Lockhart
Maaaais
En même temps
UN SCENAR SI PARFAIT
Je lorgnais dessus depuis SI LONGTEMPS
je suis super content d'avoir craqué
j'adore déjà tout
ON VA LES FAIRE SOUFFRIR ET CA VA ÊTRE SUPER love

stop,
y'a un mot plus fort que STOP ?
mais c'est quoi encore cette fiche, ces mots, ce choix de bouille, ce background. firee

(et ce futur duo, ces plumes échangées avec @Vesper Lockhart qui vont me faire les aimer et les détester onfire

et surtout me tuer, ça va être dingue, vraiment dingueeeee !! oww

ce gif là d'ailleurs, c'est pour nous tuer ????? nous hyper encore plus ???? )
l'bro est si bô,
l'bro est si perf même si franchement,
l'aurait besoin d'un reboot pour plus traîner avec la canaille (j'suis polie en plus) boude

jpp,
j'ai trop hâte d'écrire avec toi !!!!

@Syre Krerh gna gna gna gna
ça parle ça parle avec sa perfection qui arrive lààààà
Ca va être si coooool !!!
J'ai hâte hâte hâte t'imagines pas à quel point !! exciting

BIENVENUE SUR PARA BELLUM

i've no word for tout ça
qu'est-ce que j'ai fait pour être bénie des dieux comme ça ? c'parce que je suis un monstre venimeux ? visiblement, ça paye bien.
on va faire crouler le forum sous nos pluies acides j'aime ta plume, toute en simplicité et en poésie, de ces mots qui me vont vibrer beaucoup, beaucoup. je suis aussi amoureuse complètement de ce que tu as fait du personnage, je me languis fort fort fort de vous voir évoluer avec syre, parce que quel beau lien vous nous avez concocté là...
je n'attends pas plus pour te valider, et je file te lover dans notre premier rp.

Bravo, tu es désormais validé.eet prêt.e à faire ton entrée dans le monde des vices !
Pour vivre au mieux l'aventure et sombrer dans les ténèbres, n'oublie pas de te créer un carnet de liens afin d'y lister tes liens ainsi que tes rps (et même ta chrono si tu le souhaites). Si tu as des idées concrètes concernant un pl ou un scénario pour faire chavirer quelqu'un d'autre, tu peux les proposer dans ce coin. N'hésite pas à vérifier le fonctionnement des cartes juste ici, il y en a plein à gagner si tu veux pouvoir les dépenser par la suite. Et si l'envie te prend de chercher un.e partenaire ou de proposer un rp libre, on te donne rendez-vous par là.
Petit cadeau de bienvenue, tu peux également lancer ton personnage dans la première intrigue, l'antre du vice (ce topic commun est bien sûr facultatif).