inferno.

tw : violences verbales/physiques, sexualité, descriptions graphiques, trouble borderline non diagnostiquée, misogynie, sexisme, patriarcat, alcoolisme, abus de substances, glauque, gore.

Vaughn Barger

Hell's Part
Old Town
Sin City
Mirror's

30 y-o / blood's gang / ft Ivan Kozak

identité. Lueur assassine dans les orbes sombres, on y voit le temps qui s'y écoule, cette putain de tempête qui fait carnage dans le corps d'un jeune vieillard, les mains usées, l'âme déchirée, linceul se balançant dans l'esprit gangréné de vices. Vaughn en étendard sacré, un nom qu'on grave dans ses souvenirs pour ne jamais laisser passer sa chance de survivre lorsqu'on le toise. Barger, nom disloqué, on y entend les consonnances d'une patrie abandonnée, autrefois Kovalenko qui suintait de vices, changement de blase pour dériver dans les eaux sombres de Leavenworth sans s'faire gauler par la flicaille qui grouille. Vaughn qui se tue à la vie, en fume la mèche d'un pétard qui lui implosera dans la gueule un jour ou l'autre, la nuit sera rouge sang quand le roi mourra. âge. Les trente plaies suintent de ce purulent sentiment d'être à moitié crevé, l'homme n'est parfois qu'un gamin déguingandé tentant de se mouvoir dans l'océan noir, une envie de survivre, les flammes soufflées avec cette certitude que demain sonnera la fin. Quelque chose se meurt un peu plus dans les automnes qui chantent ses louanges, une putride envie de clamser sous le canon qui l'obsède quand les temps sont gris, un besoin vivace de ne plus exister mais la vie prend si souvent le dessus, feu vif qui ne s'éteindra jamais vraiment. origines. son pays peint du rouge, Ukraine qui hurlait dans les langages mal tissées du gamin qui bégayait comme un faiblard, la langue mal apprise d'un Texas qu'il clamait haut et fort lorsqu'il était le môme du ranch désabusé. Il courait dans les champs d'or, slalomait autour des destriers aux pelages de nuit et d'hiver, mourait dans le foin aux côtés des premiers amours et émois. Le fils dégagé du huis clos de bois à ses dix-huit piges, obligation d'être un manant qui parcourait les routes de sa bécane qui hurlait ses pétarades. Le joug de Leavenworth s'ouvrit à lui trop tôt, d'un rien passant d'un roi qui construit son empire de péchés, Hades en dieu ultime, le diable sous la carne. profession. Empereur couronné, président des diables, chef de la ligue sanglante. Il est de ces hommes qui laissent tremper leurs mains dans les bains de sang, délaisse à autrui ses obligations et ses ordres recrachés, patron aimant quand les jours sont doux et les nuits désuètes, oubliant les chimères cauchemardesques qui l'empêchent si souvent de pioncer. Il dégomme la carcasse des bécanes suintantes du crime des obscurités de la veille. Assassin protégé sous le masque de ses identités changeantes, les mains plongeant dans le vice du vermeille, arrachant les cœurs, les crânes et les orbes pour régner en maître dans son carcan de béton. statut civil. S a r a i qu'on ne nomme plus. Il faut oublier les plaines et creux du corps aimé, de la madone infernale qui régna à ses côtés. La haine dans les molaires de cette gorgonne assassine, élevée au rang de reine par les siens et les cieux, rejetonne d'Hades, déesse infernale hurlant à qui le voulait qu'elle avait plus de couilles que les éphèbes qui l'entouraient. Une nuit. Une balle de trop, carnage en plein crâne, la reine tombe et plus rien n'existe. Dans son giron, elle expia son dernier souffle, marionnette désarticulée qui ne dit plus rien, âme envolée dans les bras de Morphée, Faucheuse trépassant de sa faux pour mener la guerrière vers son dernier lit. Deuil porté à même la carne, son nom gravé sous le poitrail, là où combat l'esquisse du myocarde ensanglantée, hémorragie interne qui ne cesse jamais de lui recracher les glaviots de son chagrin lorsque la solitude l'entoure.

Un jour. Un Enfer. Blondeur et moue boudeuse, la fée aux ailes iridescentes presque tuée à l'aube, guerre qui sévissait, ange en plein no man's land hurlant sous les rafales de plomb. Il se souvient de cette effusion de rubis, balle dans l'arrondi de l'épaule, cette crainte ignoble qui revint en lui, flashback en pleine gueule de Sarai qui clamse sur le bitume. Alors dans la froideur des gestes rudes, il entraina la reine de glace jusqu'à ses hauts lieux, l'enfermant dans sa tourelle pour garder le précieux de son existence, angelot fragile aux stigmates d'une vie rude qui vient lui claquer dans le faciès et la haine gronde pour la pécheresse, immaculée conception qui erre dans les couloirs, sans rien avoir à faire d'autre que de se cacher des enfers qui la cherchent. orientation. Nymphes étendues dans le rougeoyant désir de l'homme faible face aux croupes et aux dunes, marquant les pâles épidermes de ses baisers voraces, femmes en impératrices de ses fantasmes inavoués. groupe. roark's.

LA CLAMEUR DES ENFERS.

Papa t'es Hadès en personne, dieu des Enfers, le blanc de ta barbe éraflant mes joues de sale môme. Papa t'es le plus fort d'entre tous. Papa t'es plus qu'un monstre de l'au-delà quand tu limes la corne de tes poings contre le joli visage de maman. Papa t'es qu'une enflure, une raclure de la pire espèce. Papa tu m'donnes la gerbe à rire à tout va, avec tes glaires noires plein les bronches à force de t'enfiler des gitanes qui empestent l'air. Papa, putain, j'donnerais tout pour venger Maman. Papa même sur moi tu uses tes phalanges, même mes lèvres connaissent le goût rouillé du sang, même mon nez se souvient de l'os que tu lui as brisé. Papa, même maintenant, j'me souviens de tes mots, de tes grognements qui disaient que j'devais me tenir comme un homme, avoir des couilles, plus de couilles que tous les hommes du monde. Papa, tu m'as pas aimé, pas vrai ? Papa, tu me diras jamais je t'aime, pas avec tes yeux cachés sous les glaces brillantes de tes lunettes me renvoyant juste ma gueule de connard brisé. Papa, t'as le crâne en bouillie, le trou de la mort collé au front, Papa t'es tellement pâle, inerte sous mes yeux, les yeux fermés pour ne plus voir que le Paradis qu'Hadès veut bien t'offrir. T'y as rejoint les catacombes j'espère, les mêmes que Maman rêve de rencontrer. Elle continue d'hurler ton nom, tu sais. Elle continue de jouer à la tarée, à s'arracher les cheveux en dégueulant ton nom, en le recrachant sur les murs blancs de sa cellule immaculée, elle t'appelle comme un atteint de Stockholm réclamerait son bourreau. Papa, t'as laissé l'or trop lourd de ta couronne derrière toi, la méfiance jamais vraiment achevée, la décadence d'un club de vieux paumés montrant leurs dents et leurs lèvres bavant la rage face au roi qui prit les rênes. Papa, t'as tout laissé derrière toi, l'empreinte de tes pas sur l'Enfer terrestre, des cadavres par centaines, des montagnes de batailles inachevées, un trône sur lequel j'suis posée et où j'me sens parfois pas à ma place. Papa, t'as jamais rien fait que de faire naître un condamné à mort. Papa, tu m'as offert à la réalité mortelle comme on jette un prisonnier derrière les barreaux. Papa, je te hais aussi fort que je t'aime.

ses vices. béton en giron, la taule qui l'a mené tout droit vers cette colère rutilante, ces péchés qui oscillent des corps en macchabés sur les draps, nymphomanie absurde à la gnôle sous la langue, la ice qui pète dans les mirettes quand vient le temps de la défonce. son regard sur leavenworth. hellcome home, la ville qui ronge ses moindres lueurs d'innocence, n'en reste plus grande chose depuis des éons. il est le fils des entrailles du béton et de la verdure, enchanteur haineux qui hurle ses ordres dans les baraques où tombent les corps sous ses poings. son organisation. roi des blood's gang, l'aversion pour les hautes sphères en étendard, prend sous ses ailes noires de corbeau les rejetons qu'on a jamais voulu, les menant droit vers le crime qui sévit encore et encore, apprend la litanie des chants mortels aux affiliés de l'infant du mal.

de l'autre côté du miroir
ton prénom/pseudo. euphoria. crédits divers. si la rose (ava). origines du personnage. cody thelor (le dragon) du pl blood's gang. un dernier mot ?. venez en mp qu'on discute liens hrt

Para Bellum

mine. (d'une autre vie :///)

@Cave Skads t ki ://

BIENVENUE SUR PARA BELLUM

euuuh bonjour??? ça va pas de faire valider une fiche aussi géniale de bon matin là? ON EST OÙ, huhh???
nan en vrai bon tu sais déjà c'que j'en pense je crois ptdrrhjsg mais vraiment,
oh mon dieu, quel personnage incroyable que nous avons encore là
et alors la partie avec le papa là, c'est pour me tuer ou quoi?
c bô
c triste
c sanglant
c tout c'qu'on aime.
re à la maison

Bravo, tu es désormais validé.eet prêt.e à faire ton entrée dans le monde des vices !
Pour vivre au mieux l'aventure et sombrer dans les ténèbres, n'oublie pas de te créer un carnet de liens afin d'y lister tes liens ainsi que tes rps (et même ta chrono si tu le souhaites). Si tu as des idées concrètes concernant un pl ou un scénario pour faire chavirer quelqu'un d'autre, tu peux les proposer dans ce coin. N'hésite pas à vérifier le fonctionnement des cartes juste ici, il y en a plein à gagner si tu veux pouvoir les dépenser par la suite. Et si l'envie te prend de chercher un.e partenaire ou de proposer un rp libre, on te donne rendez-vous par là.
Petit cadeau de bienvenue, tu peux également lancer ton personnage dans la première intrigue, l'antre du vice (ce topic commun est bien sûr facultatif).