luxure imposture

tw : tpn, god complex, emprise psychologique, corruption politique, famille dysfonctionnelle, maltraitance infantile (passé), identité morcelée, névroses, psychoses et hallucinations, amnésie post-traumatique.

slevin healy

Hell's Part
Old Town
Sin City
Miror's

45 y-o / cosa bianchi / ft cillian murphy

identité. ô tribune assassine à l'honneur divine~~ment torchée de plasma~~, mensonge millénaire, ère surannée; voit l'ombre d'une sculpture mosaïque se colorer au chrysocale des vérités. en plein soleil, la pénombre; un visage parfait, un sourire de faïence au cœur d'un silence blanc. titan aux pieds d'argent ou serpent aux crochets saillants?? SLEVIN se murmure suave, dans toute son imposture esclave. tandis qu'HEALY s'usurpe d'une trêve royale, scandeur du légendaire bâtard bien-aimé, fracassé tout contre le marbre d'une identité scrupuleusement morcelée. au risque de faire mentir l'olympe et le tartare, pécher les tendres dévots du fond des cachots, effleurer l'empire immortel, au delà des échos de l'abîme; tailler la rose de narcisse.

âge. miroir aphrodisiaque sous la lumière aveugle. quarante-cinq fêlures perfection; un fragment d'ère satané, l'esquisse d'une fourberie féliformia. à la gloire de l'éternel.

origines. ode aux cendres étouffantes, aux souvenances saccagées d'un champ de ruines (et d'un chant de guerre?); où la fumée d'un orage éclaté rugit toujours à grandes bourrasques; sa vanité désolante. et ce serait presque beau. comme ~~lui~~ son irlande qu'il a longtemps aimée et dont il garde les rondeurs au bout des mots, lorsque les poings frappés d'orgueil se peignent de furie. belle irlande qu'il a laissée derrière, origines grotesques, honteusement oubliées; aux mirages tempête. quelle importance lui porter, à ce bout d'histoire dont il n'a que faire? au nom du sublime de sa désolation princière qui ne porte plus ni racines, ni passé; rien ne sera jamais de trop.

profession. prévôt, amiral et chevalier du zodiaque, baron noir de la souveraine hypocrisie. aux grands mensonges les beaux éclats. ô notre bon roi n'est pas ce qu'il croit. maire furieusement illégitime de la somptueuse, terrifiante leavenworth, pour le pire. pion blanc positionné tout en haut du bûcher des vanités, pièce maitresse du jeu des apparats ~~humains??~~ politico-médiatiques. demi-dieu au flanc mauvais, hargne méprisée, se ploie non sans se débattre, sous la lame mesquine, l'œuvre criminelle; viendrait écorcher le cou du cygne noir au moindre battement d'aile incalculé, inenvisageable.

statut civil. époux en papier glacé; l'étranglement de l'amour théâtral en déguisement final. traité médiatique pour le sida rituel. somptueuse odalys, poupée désarticulée, tristesse d'une âme égarée à l'obsession morbide pour un olympien déchu aux coutures de cerbère, s'aimant tant plus que la terre.

orientation. fièvre du cœur synthétique, amant esthétique, ne s'effondre que pour le pouvoir artificiel de sa belle gueule de titan. et tout.e.s celleux qu'il a effacé sur son passage, où on les mets? les sentiments du palpitant onyx se mutent, observent, interdits ; la tristesse purement tragique de la comédie que slev se délecte de voir apposée sur sa silhouette, pour la distraction que cela lui procure sur l'instant. comme un tatouage de pureté ~~à saccager?~~ indélébile dont il ne se lasse pas; le fancy-talker se laisse aduler, a i m e r comme un dieu, comme celui qu'on ne peut jamais atteindre, ni toucher... et qu'on fini presque toujours par haïr jusqu'au dégoût sublimement inférieur, subtilement humain. mais c'est une comédie qui le rend fou. une fois la nuit tombée et les sourires écrasés derrière les murs de sa sainteté surprotégée. seul, face au miroir. il n'y a plus personne à pousser au bord du parloir. seul, face au miroir. il s'aime, au sempiternel.

groupe. hartigan's

A I M E R L E M I R O I R

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INFANTICIDIUM

l'escalier accélére sa musique après maints tâtonnements dans l'obscurité de la chute aux paliers du vertige. l’œil vide de l'assassin, si jeune, aux fracas de la noirceur. abel tuant caïn? le schéma de la genèse inversé. pour une place sur le trône? (lequel??? ils sont personnes.... c'est peut-être ça, l'idée) le sourire rouge sang resté figé sur les lèvres inanimées. foudroiement de cris, de rage, d'horreur, de coups, de larmes. slevin aurait du courir dans sa chambre et s'enfermer à double tour, à ce moment très précis. dans ses plans, personne ne savait. dans ses plans, tout était parfait. mais sur l'instant, il lui est impossible de bouger. enfin; le petit cœur du garçonnet congelé a comme un sursaut d'immolation fulgurante. et au souffle de mort, le sang encore chaud dégoulinant sur ses petites mains glacées le prend violemment à l'âme. monstre, le mot résonne lourdement dans ses oreilles, les dires d'une maternelle au bord du ravin, tombée sur ses genoux pour enlacer au plus près son premier diable déchu. voilà qu'enfin, à travers le crime; elle semble vivre. un maigre penchant d'existence pour un presque héritier. presque roi. presque succès.

tout ça pour ça? tout ça pour toi?...........et moi, j'ai quoi?

cian. cian. cian.

les chuchotements de slev soufflés entre les dents, comme la formule d'un mauvais sort apprise par cœur.

bientôt, tu seras oublié.

cian... ci...an........ qui ça?

et à la fin du voyage, il ne reste plus que le silence..... une absence. il croise son regard dans le m i r o i r. une seconde, peut-être deux. il n'y voit plus rien. la vision s'est troublée. la tête pleine de mythes cadavériques et d'os jouets.

SILENTIUM EST AUREUM

il est encore enfant. il n'a que huit ans, quand mère le tue pour la première fois. puni, pour avoir osé lever les yeux sur elle durant le dîner alors que l'on lui a formellement interdit depuis à peu près toujours. il a bien failli se faire avaler d'un coup de crocs. il aurait suffi d'un mot de trop. il aurait peut-être même préféré. ça aurait été plus facile à supporter. tout ce silence. alors, il serait tombé en mille morceaux, aurait formé un petit monticule de poussières d'or qu'on aurait soufflé sur son gâteau.... qu'il ne gouterait jamais, vu qu'il n'existerait plus, vu qu'il serait puni d'une belle mort. comme tout le monde ici. ou alors on aurait ramassé ses cendres négligemment, pour le repas du chien, ou pour décorer la nappe blanc cassée, pour que mère se demande quelle idée est encore passée par la tête de son affreux fils mal-élevé pour oser l'importuner, alors qu'elle l'a crevé. oui, aujourd'hui, c'est son anniversaire et slevin réfléchit à la façon dont il pourrait donner un peu de gaieté à tout l'ennui plombant dans lequel on l'oblige à planer. au prix d'une vie, au prix de tout, pourvu qu'elle lui parle et le regarde, qu'elle l'apprécie un peu, comme papa lui promet tous les soirs. ce menteur. mais mère doit bien avoir oublié, encore? et seul le sourire triste de papa s'est levé au loin et perdu entre les murs glacés du salon. au bout de l'immense tablée de l'immense demeure qu'ils habitent; tous les trois, ils ne se voient presque pas. et puis, lui, est si petit. trop, selon mère. alors que tout est trop grand dans ce manoir. les pièces, les gens, la vaisselle, les portes, les meubles. et les miroirs, si nombreux. père dit que c'est pour que mère s'admire où qu'elle se situe chez elle. chez elle... elle a répété quelques fois qu'il n'a rien à foutre ici, que papa devrait le mépriser autant qu'elle le fait. sans doute a-t-elle raison. mais il ne sait pas où trouver un chez lui, slev. papa dit qu'il ne faut pas faire attention à ses mauvais maux. qu'elle est malade. qu'il devait être un bon garçon. alors on s'occupe de lui, de le faire taire quand il est trop curieux par quelques coups bien placés, de l'éloigner des miroirs dans lesquels il se confond à parler à ce garçon d'à peu près son âge. sans doute la même taille. et le même regard. vide. il s'appelle cian. il a entendu ce prénom un soir. ou peut-être était-ce dans sa tête? dans un rêve? ce ne pouvait être que lui. son nouvel ami.

COMOEDIA HUMANA

et quand ils sont arrivés. mère les a immédiatement aimés. et quand ils sont arrivés, il a presque manqué de les tuer ~~eux aussi~~ à chaque respiration qu'ils ont osé pousser en sa compagnie. des envies fulgurantes repoussées au plus tard. siobhan et puis erin. deux cafards ingrats. sa petite sœur et son petit frère. mauvais frère. ou peut-être pas? il faut partager le même sang bleu de prusse pour ça, n'est-ce pas? bâtard. malvenu. malaimé. "chez elle". tout fait enfin sens, maintenant, sauf son existence. une conversation surprise au cœur de l'écho de la bibliothèque réconfortante du manoir. slevin, le visage glacial, repose délicatement à sa place initiale, la tragédie qu'il détient entre les doigts. le king lear peut bien attendre. le jeune homme a sa propre tragédie à vivre, dorénavant... s'il n'est pas le bon héritier. pas le fils tant rêvé. s'il n'est que le fruit d'une honte éternelle. d'un amour méprisé. un échec. un moins que rien. alors, personne ne le saurait jamais. chut. ça commence. vous entendez? un ballo in maschera. — et puis pour moi, s'il ne reste plus rien, laissez-moi être un héros, un empereur, un dieu et même un fou de toutes ces ruines qui vous encombrent. oui, je le peux. je serai le fier fils de personne, le guerrier de papier mâché, le chevalier sans armure, le menteur bâtard; de tous ces méandres brisés, retenez-bien, j'en ferai mon royaume.

cedant arma togae

il a quitté l'ombre de mère pour conjurer sa faute, loin, loin de cet affreux silence. loin des deux gamins. loin de chez elle qui ne sera jamais chez eux. loin de dublin, et même du pays. loin de cian, aussi. n'est-ce pas si dommage? après toute cette peine. après tout ce soutien mutuel. il perd un ami(??). étrangement, la douleur ne vient pas. ne viendra jamais. il est parti, comme il est apparu. comme l'un de ces trop nombreux fantômes qui habitent le manoir. l'ainé envoyé aux oubliettes, sur les terres impies du nouveau-monde, à l'internat; pendant que les cafards s'en vont brouiller les silences douloureux de papa, à sa place.

~~l'internat,~~ le tartare se révèle être ennuyeux pour slevin. région aride, brumeuse, sans vie et monotone avec parfois des étangs glacés, des lacs de soufre ou de poix bouillante; des hurlements et des souffrances. oui, là-bas, c'est l'horreur, probablement pire que l'était le manoir. mais pas pour slevin. lui, s'est déjà fait une place et une raison. lui, devient enfin quelqu'un. lui, n'a plus besoin de rien. mais quand, pour sa plus grande surprise, on finit par lui remettre entre les doigts les deux affreux cafards de siobhan et erin; slevin soupire. encore une fois, il lui aurait suffi de simplement les écraser. qu'ils le lâchent à tout jamais. ça aurait été simple. ils n'auraient certainement manqué à personne. et pourtant, voilà qu'ils étaient rejetés, eux aussi. alors ; il les épargnent, une fois de trop pour une raison qui lui échappe, qu'il ne souhaite pas expliquer. inutile de se donner tant de peine? surtout quand erin meurt un soir. il l'a vu crever, perdre la raison au fil des hivers ; ne lui est pas venu en aide. il a hésité, un peu, à peine. dans son regard de petit frère blessé, slev a vu flamboyer la douleur d'avoir été oublié, mal-aimé, laissé de côté. et peut-être, que, comme ça, il comprenait ce que ça faisait? ou peut-être qu'il ne le méritait pas, tout ce mal, le cafard. trop tard. quand erin se fait interner. slevin ne le releve pas, ne s'en intéresse que peu, dans le fond, plongé dès lors dans une forme d'anhédonie placide et imperméable. siobhan, elle, s'accroche si fort à lui qu'il ne sait pas trop s'il ne préférerait pas la voir aussi finir comme le cadet. au lieu de quoi, elle devient son petit pion personnel. à croire que ça a du bon finalement d'avoir une petite sœur. slev se perd en ces terres sans vie, rien ne parvient à le distraire. peut-être que c'est simplement le chaos qui le dérange. lui qui préfére l'ordre et le contrôle. le contrôle, de lui, des autres surtout, du temps qui court, des maux qui grouillent. de tout, à tout prix. ici, il n'y a rien à faire, c'est impossible et inutile, les prisonniers sont bien trop sots. et il n'a pas le temps de leur apprendre. alors il travaille dur, pour compenser l'ennui de son existence, la tête dans les bouquins d'économie et de politique à mépriser avec arrogance chacune de ces stupides pages, toujours fourré à la fin des cours dans les pattes de ses professeurs; à les inquiéter de ses grands yeux bleus et de ses poings qui tonnent contre la table par surprise, entre deux immenses silences ; lorsqu'on le contrarie d'un pauvre non. il se tient si bien, si beau, si fier dans ses costumes à pas de prix dans la cour des crèves-la-dalle. brillant élève aux attraits mystiques, dérangé par un je-ne-sais-quoi qui fascine bien des camarades. parfois métamorphosé en quelque chose de plus doux, plus aguicheur, pour jouer un peu de leur crédulité de mortel. dans la voix, dans les faux sourires qui filent bas pour torturer les cœurs déjà à terre, sans les chercher, les actes viennent seuls. et alors il vient trancher les têtes des esthètes osant lui passer devant. c'est à s'y méprendre, de cette folie douce et tendre. de cette violence impromptue qui gronde dans les veines. une dualité toxique. et mega, s'y perd elle aussi, jusqu'à devenir son tout. aussi perdue. aussi tordue. le genre pour qui il pourrait tomber. . . s'il se laissait seulement aller.

contraria contrariis curantur

mega, c’est un conte sanglant, une chanson sinistre, une berceuse infinie. la belle reine des méandres issue du royaume doré, la figure désolée, au doux sourire et au rire clair, toute droit sortie des cordes d’un ménestrel éperdu d'amour. slevin, voisin d'un royaume de terre n’est ni le bon roi qu'on dépeint, ni le brave chevalier blanc dont rêvent les princesses et pourtant, parfois, il a comme l’impression de brûler dans ses grands yeux océans. et alors, il sombre dans un amour fou, trop fou, s'oublie tout au bout..... ou s'aime d'autant plus flou? le miroir ou mega?

mega, mega, mega. . .

le m i r o i r.

quelque chose se passe. un cœur se fracasse. le sien reste hermétique, intact sous l'impacte, trop jeune, trop déglingué, trop con; trop loin d'elle. il ne comprend rien. laisse chanter le refrain. il ne saura jamais l'aimer suffisamment fort. suffisamment bien.

ô mega, ô mon amour, pardonne-moi, je ne suis pas là.

le m i r o i r, je l'aime.

c'est toujours lui qui gagne.

ad patres

il y a comme un grand blanc après le premier décan. un petit berceau de l'hiver où tout devient flou dans l'esprit brumeux de slevin. rongé de multiples furies tenues sous silence, il patiente. quelques mois, peut-être des années que le titan a, consciemment ou non, effacé drastiquement de ses mémoires. pour le bien de tous, très certainement. ne demeure qu'un restant de cœur battant tout juste, serré par des remords fantômes, par la rancœur, la haine et le temps. il s'est marié. il ne sait même plus quand. odalys. une poupée à briser. elle est outrageusement belle ; il lui fait vivre la mort. ils ont un fils, apparemment. il n'est ni un bon époux, ni un bon père. cette famille maudite le lasse de bout en bout, fausse fratrie ratée..... mais certainement est-il la pièce centrale qu'il a le plus de mal à contenir, à définir aussi sur ce plateau de ruines. il a pourtant de quoi être heureux, ou au moins se réjouir; d'être enfin dieu. il a longtemps rêvé ce moment. rêvé d'être tout là-haut, tout seul, avec un avenir certain pour les siens. être quelqu'un. avoir tout ce qu'il veut, à tout moment du jour ou de la nuit. il a longtemps rêvé voir ses yeux aussi, dans les siens ou crevés au bout d'un piquet. sa fierté, son amour, ses regrets, sa douleur, n'importe quoi de vivant, de tangible. sa mère, pauvre mère tantôt adulée, tantôt méprisée. mais voilà que rien ne semble le satisfaire, voilà qu'il est trop tard. et que intrônisé dans le fauteuil sans fond du bureau personnel de sa mairie, non loin de ces âmes grouillant, hurlant à gorge déployée dans les ruelles, pleurant au plus près du cercueil de la mort de la justice et de l'espoir ; slevin lorgne la tombe du silence d'un œil absent. un goût de fer entre les dents.

fracturer le silence. qui le peut?
dieu le pveut.
.
.
.
vraiment?
.
.
.
.
.
.
.
laissez moi m'aimer le m i r o i r.

ses vices. personnification suffocante de l'orgueil en son état le plus irréversible et destructeur. pauvres existences simplettes s'y laissent amoureusement sombrer, lascif; le charme sirupeux de l'olympieux. les âmes ruinées sous le gel des rétines blizzards, violentées sous les pauvres jetés de sourires cyclones. et crever au nom d'un dieu? n'est-ce pas si présomptueux? slevin se nourrit infiniment de l u i. de son god complex malfaiteur. tant et tant qu'il perdrait presque pied. mais voilà qu'il se sent voler. au dessus de tout. et depuis les cieux, il se persuade que tout va mieux. entre la fulgurance de la chair et l'ombre ; le jeu de mensonge. luxure imposture, délicieusement prônée en distraction divine. charmer les poupées en proie aux maux répétés, aguicher les éphèbes aux destinées d'épopée. son regard sur leavenworth. maitre d'orchestre tenu en laisse porte sur l'enveloppe fantôme de sa cité, un regard blanc chargé d'une anhédonie transcendée. slevin n'est qu'infiniment coupable, sans tenir aucune arme. patience imperturbable. se tapit dans l'ombre. et c'est toujours aux abords du silence que sonne le plus sourdement l'heure du (t)repas. les crocs taillés à la push-dagger sinistrement immaculée. un mot, tout juste deux. lui? n'a rien fait. rien fait, ce n'est jamais de son fait, comprenez-bien... il n'a que parlé, lascivement aimé charmer l'univers flingué tout entier. plutôt gaz carbonique, les discours irrespirables, susurrés sensuellement au cœur des tourments de l'agonie humaine. non loin, les écailles d'émeraude se sont peignées de rubis. alors m. le maire tourne les talons, quitte le pupitre, range ses mots ~~crochets~~, le voilà incroyablement beau. son organisation. il est dieu, il est chien, sans trop vraiment reconnaitre le plafond de sa rage. et jusqu'où elle saurait grimper, rejoindre l'empyrée. le tribun courbe difficilement l'échine face à la cosa bianchi pour qui il a juré fidélité contre le poste adoré, mais s'y résigne volontiers lorsque tous les quatre du mois le mk2 trouve son chemin flanqué entre les yeux.

de l'autre côté du miroir
ton prénom/pseudo. nevra. crédits divers. av; murdock. origines du personnage. le predef du maire biche

un dernier mot ?. oe jav hrt3

Para Bellum

j'edit ce message milles ans après mais au moins j'l'edit ok???

PAR OÙ COMMENCER ?

en vérité, tu sais déjà ce que je pense de slev, de tes mots, de cette fiche parfaite ~~comme toujours en fait~~ tu sais mon amour pour tes persos déglingués, et puis pour cillian aussi

slevin healy a écrit:quelque chose se passe. un cœur se fracasse. le sien reste hermétique, intact sous l'impacte, trop jeune, trop déglingué, trop con; trop loin d'elle. il ne comprend rien. laisse chanter le refrain. il ne saura jamais l'aimer suffisamment fort. suffisamment bien.

ô mega, ô mon amour, pardonne-moi, je ne suis pas là.

le m i r o i r, je l'aime.

c'est toujours lui qui gagne.

je chiale. ok. ça va là??? vraiment mon coeur saigne pour ces deux là, mais encore plus pour lui, j'ai vraiment hâte hâte hâte qu'on se leur fasse du mal (mais qu'on feels avec)

regarde ou conséquences:

bref bref merci de me faire rêver à chaque fois à travers ce que tu nous offres en terme de personnage, même si c'est généralement plus pour le pire que pour le meilleur
ily queenie

je re pour edit rapidos

on en parle de la beauté de ce personnage ? absolument fan de tout ce qui s'offre à nous quoi. du choix de fc combiné à cette idée de perso, puis tes mots ?? rolala, l'or dans les doigts. dead

bienvenuuue !!

FAUT PREVENIR
C'EST QUOI CE GARS fight

DIABLE QUI TIRE LES FICELLES DE LA VILLE kill

et tes mots mais tes mots ! je me vautre dedans, je les dévore hrt

ça m'a foutu une grande claque et j'en redemande. il est affreusement grandiose ton bandit. y'a l'indécence qui se glisse entre chaque ligne. et je m'évanouis pour le fc, bisous stars

c'était tellement dur de quoter quelque chose, mais j'ai choisi.
j'ai choisi ces mots d'une furieuse douceur " prévôt, amiral et chevalier du zodiaque, baron noir de la souveraine hypocrisie. aux grands mensonges les beaux éclats. ô notre bon roi n'est pas ce qu'il croit. " cette fiche tout entière est une splendide merveille, sincèrement, leavenworth n'aurait pu rêver meilleur maire impitoyable et sinueux. dead

je suis amoureuse et je veux et j'exige un lien avec Slev, je ne pourrai décemment passer à côté (si tu veux bien de moi, évidemment). moh

je ne parlerais même pas du fc, tant c'est la perfection absolue.
tout. juste tout est perfection. cry

@mega raw & @alma bianchi yo les queens ça va tranquille ou bien? huhh

@cave skads moh trop nice, mais ui la beauté de cillian prônée à sa juste valeur là, merci de confirmer qu'il a raison d'se lorgner la gueule de titan dans tous les miroirs qu'il croise fight

nn mais blague à part, merci tout plein, et puis bon tu peux causer toi avec ton roi de carreau incroyable là, tu fais chavirer tous les cœurs ~~jolis~~ pourris d'la ville kill

@vilnius grimm je... — oww

snif tes mots me font grandement plaisir, jsais pas trop où me mettre..... alors jvais quand même rester là et être bg pour les caméras?? idk j'ai paniqué glitt

ptdrrr bon, sinon, j'oublie pas le lien que jvais devoir venir te voler soon enough quand je vous aurais enfin tous.t.e.s rejoint, 'because ta propre plume d'outre-tombe et vilnius ce monsieur sainte-horreur adzefzerf kill

@vesper lockhart mon dieu je suis tellement aux anges de savoir que ce que j'ai fait de monsieur le maire te convienne, déjà parce que toutes ses folies n'auraient jamais eu le loisir de naitre sans toi et ton imagination affolement débordante, mais aussi parce que je voulais pas que mon slev ait un peu trop dévier de l'idée que t'avais du pl; me voilà rassurée et plus hype que jamais, merci à toi pour tout ofc t'es la best oww

pour le lien c'est un oui évident?? genre la question se pose même eh, trop hâte de voir tout ça eyes

BIENVENUE SUR PARA BELLUM

cette plume, cette histoire, ce rôle, le lien avec Mega, Cian (mention spécial pour lui), les miroirs, la mère castratrice.
je suis folle de Slevin, de cette manière que tu as eu de conter sa triste histoire et cette montée vers une folie certaine qui ne pouvait que le mener jusque là où il est. j'ai un grand faible pour ces grands méchants loups blancs, pour ces gamins esseulés et tu l'as dépeint à merveille tellement heureuse que tu sois tombé.e sur cette pépite du maire pour l'incarner c'est beaucoup trop beau et j'ai tellement hâte de le voir en jeu ! have fun surtout et j'vais tout stalk avec assiduité !! et surtout, bienvenue chez toi car j'crois ne pas être passée ici snif

Bravo, tu es désormais validé.eet prêt.e à faire ton entrée dans le monde des vices !
Une des administratrices passera vite te mettre ta couleur et ton rang.
Pour vivre au mieux l'aventure et sombrer dans les ténèbres, n'oublie pas de te créer un carnet de liens afin d'y lister tes liens ainsi que tes rps (et même ta chrono si tu le souhaites). Si tu as des idées concrètes concernant un pl ou un scénario pour faire chavirer quelqu'un d'autre, tu peux les proposer dans ce coin. N'hésite pas à vérifier le fonctionnement des cartes juste ici, il y en a plein à gagner si tu veux pouvoir les dépenser par la suite. Et si l'envie te prend de chercher un.e partenaire ou de proposer un rp libre, on te donne rendez-vous par là.
Petit cadeau de bienvenue, tu peux également lancer ton personnage dans la première intrigue, l'antre du vice (ce topic commun est bien sûr facultatif).

@kai boher OMG MAIS PARDON?? oww

faut pas me prendre à l'âme comme ça, par les sentiments, snif merci infiniment pour ta validation, tes gentils mots et la façon dont tu as retranscrit l'image que je voulais faire paraitre de slev, décidément le staff est rempli de pépites incroyables ça fait trop plaisir de vous avoir hrt