tw/ suintent les saints — cave & kai
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tw/ suintent les saints — cave & kai

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Kai Boher

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Kai BoherThe Viper's

Âge : sobriété des vingt-sept qui éclatent dans les orbes grivoises, sourire machiavélique n'apporte que peu de ridules au visage de l'enfant sauvage.
Statut social : môme de la carne bétonnée, elle se disloque en plusieurs morceaux dans les ruelles étranges, méphitique apparition sur les planches noires. le corps ondoie contre sa barre d'argent pour quelques billets volés.
Vices et noirceurs : fiel du stupre en addiction, haine carnassière envers le littlefinger d'une reine noire, prête à sacrifier corps et âmes pour venger le frère maudit.
Sentiment : cave, le maudit, bouffera son cœur quand l'aube viendra.
Leavenworth : enfant de cette vile rachitique, cocon dans lequel elle assouvie ses fantasmes rocambolesques.

tw/ suintent les saints — cave & kai ZDRdcFhb_o
Faceclaim et crédit : carla guetta - chandelyer (avatar) - VOCIVUS (img profile) - awona/miserunt (sign/icons)
Messages : 168
Jeu des cartes : 526
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De l'autre côté du Styx
Pseudo/prénom: saturne.
Pronoms: elle.
Multicomptes: aucun pour le moment.
Warnings: prostitution ; mentions de religions, mythologies et sexualité ; sexe ; vulgarité ; ambiance glauque ; description graphique.
Triggers: aucun.
Crédits: endlesslove (ava)
Id Discord: (ton identifiant discord si tu souhaites être trouvable par les autres membres)

   
› suintent les saints
@Cave Skads & @Kai Boher
( outfit ) / Souillure noirâtre se déverse dans la flopée des anciens. Les talons frappent la souche des racines de ce grand arbre centenaire qui pousse de la vermine en plein Leavenworth depuis des siècles. La madone s'enflamme de quelques sourires, la main s'agitant en ailes de papillon de ses phalanges graciles pour saluer les pécheurs et les nymphes prises au piège de la carcan de putain. Les hanches vacillent, slalomant entre les serveurs et les sous-fifres de la veuve noire pour traverser la grande alcôve, trouver refuge dans le cimetière où se changent les mortelles pour aguicher. La putain se déguise de noir, dévoilant le corps où les vaguelettes de quelques vergétures se trouvent, gravées sur le sable de la peau en stigmates de ce qu'elle fut et n'est plus, corps marqué à vie par les sévices de l'adolescence malade. Elle ricoche contre des loges, y laissent perler ses rires, alors que sévit en elle le plus grand des maux ; deuil qui saccage tout, comme un démon qui la hante et l'empêche de goûter au plaisir funeste du désir de vivre. Elle n'est qu'un sale spectre qui n'attend que sa vengeance pour enfin retourner dans le giron du frère défunt. La nuit trépasse sous le halo méphitique des messages qui s'embrouillent, rage en reine dans la gueule qui rougeoie sous les néons, balayant la chevelue d'un coup de la main nonchalant, mèches retombant en vagues sur l'épaule malingre, s'appuyant contre le bar pour quémander le suc du diable. Elle n'entend rien des pas, frissons de Machiavel qui l'enrobent toute entière avant que le bras ne l'enrobe, ne l'étrangle et les regards autour d'eux hurlent leurs craintes et leurs méfiances. Le loup est dans la bergerie, attrapant la lionne qui aimerait tant se débattre. La croupe rebondit contre les hanches, la victime manquant de persifler comme une vipère face à l'assaillant. Elle manque de singer sa demande d'un rire goguenard qu'elle retient mal, sourire bancale s'esquissant dans les ombres, remontant la serre de sa main, phalangines glissant doucement sur le bras pour y planter ses griffes.— Tu gagnes d'être un gros clebs puisque t'es là. Ca t'change pas de d'habitude, hm ? Le regard se détourne vers un angle où elle ne voit que la naissance de la silhouette, la force retenue qu'il met dans l'étreinte la menant à demeurer tranquille, pour l'instant. Elle se force à ne pas laisser gémir le cœur de haine, putain aux mots graveleux pour seules prières à lui abandonner. Rien n'étreint plus l'être maléfique que la rage de le savoir encore vivant. Les griffes approfondissent leurs cercles dans le derme. — Lâche moi avant que j'te brise un truc. la tête s'épanche vers l'arrière, ce putain de parfum qui vient s'échouer sous le flair en promesse de mort, en serment que cette nuit encore, elle perdra.


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Vices et noirceurs : fiel du stupre en addiction, haine carnassière envers le littlefinger d'une reine noire, prête à sacrifier corps et âmes pour venger le frère maudit.
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@Cave Skads & @Kai Boher
( outfit ) / La démone prisonnière manquerait de hurler sa détresse et son chagrin, le corps mort sous ses yeux, un jour de pluie gris et morne, l’emportant dans les affres de ses balbutiements d’esprit, rongeant l’âme de cet acide de douleurs qui j’en finit pas de la malmener. Sourire se crispe quand vient la clé de bras se refermer sur elle, faisant rebondir le corps contre le sien, brutale inspiration quand le loup ouvre sa gueule, la faisant grimacer de dégoût et d’aigreur. — Va t’faire foutre. recraché par automatisme, sentant sur lui l’odeur de l’acre fumée, de l’eau de Cologne, parfum de dangerosité qui sillonne les méandres de son flair. Elle y plonge, dans ces souvenirs d’enfant, de sale gosse qui rêvait de jouer dans la cour des grands acteurs, facéties ridicules ou amoureuses, une comédie romantique qui n’en aurait jamais fini. Mais la putain s’est parée du plus mauvais rôle, celle dont on use et abuse, qu’on écartèle, cuisses légères, sur les matelas jaunis, souillés.

Nul n’oserait approcher le duo informe qu’ils forment, catin et loup blanc, Cave Skads connu comme l’un des hommes qu’il faut craindre sous peine de crever la nuit même, Faucheur aguerri qui ne laisse personne indiffèrent sous son passage, gueule patibulaire d’un chien galeux qui apporte avec lui le chaos. Le souffle fébrile ressort du flair de la reine louve, serrant les dents quand elle voit se déployer le bras libre pour souiller son verre, observant du coin de l’œil les lèvres se servir à l’obole de sa coupe. La haine brille comme des étoiles noires dans les orbes qui le toisent, crachin vipérin qui manquerait de sortir des lèvres vermeilles. — Tu frappes les meufs maintenant, en plus de buter les frères des gens ? Quelle merde tu es. persifle la madone réduite à néant, tas de poussières humaines qui fait semblant de vivre pour ne pas mourir à l’aube. Le verre qui se tend manquerait de se renverser lorsqu’elle est prise de ce sec mouvement de recul, rebondissant contre la silhouette accolée à la sienne. Elle entend les murmures des commérages et se refusent à faire grimper la jalousie des nymphes qui aimeraient tant l’avoir pour elles.

Si elles savaient.
Si je pouvais leur dire
Que tu n’es rien qu’un monstre sans âme.


Quelques gouttes vacillent et s’écoulent en éclats translucides sur les seins dénudés, dunes timides sous le noir qui couvre à peine les baies endurcies par le froid qui règne. Hésitation palpable et elle cède à la coupe qu’il lui tend, quelques gorgées pour annihiler le mal et les milliers de maux suintants qu’il ouvre en elle. — Par tes couilles. Tu vas m’arracher les ovaires, Skads ? crache-t-elle tout près de lui, défiante comme elle ne l’a jamais été, ne fantasmant que son corps mort sur le bitume, l’œil d’un flingue fumant au bout de sa main criminelle.


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( outfit ) /Les yeux roulent vers les cieux, la blase plein le visage, les serres abandonnant la chair tandis que le bras retombe, branche morte, arbre sans vie se laissant malmener par le bâtard au pelage noir. Elle y voit le néant dans ses yeux qui la mirent, observe les ombres y danser dans ce grand mouroir qu'est le regard du fils Skads, un grand rien, un trou béant dans lequel on pourrait y perdre la vie et son âme. Elle ne cille pas, se refuse à faiblir face à la terreur que lui inspire, au fond, ce grand homme qui est capable de tout, du pire par-dessus tout. Elle esquisse la grimace d'un sourire, avalant l'amertume sucrée d'un alcool qui enflamme un instant la gorge, manquant de le recracher à la trogne patibulaire. Elle se retient, n'ose franchir la ligne rouge de l'interdit face aux oiseaux de mauvaises augures qui planent tout près d'eux. Il lui semble entendre les murmures et l'éclat de son prénom dans les flots de commérages. Kai. Kai. Kai. Putain de piaillements qui ne cessent pas et elle s'agite, cherchant à se dégager du bras qui l'entoure encore, étreinte qui laisse courir sur elle les baisers-frissons du dégoût ancestrale. Rire de folie qui s'échappe à sa réplique, le recrachant d'un souffle contre sa bouche — Laisse moi rire, Cave. Tu bandes déjà d'me voir danser pour toi alors pourquoi pas ma langue sur tes couilles ? en crachin acide, vulgarité de la courtisane qui ne se laissera jamais prendre au jeu de ses charmes.

Le visage est beau,
L'âme est laide et puante,
Tu n'es qu'une plaisanterie humaine
Que je tuerai, le soir où les anges chanteront ton nom.


Coup d'épaule, coude s'enfonçant dans le ventre et le poitrail, elle se délivre sèchement, sifflant sa haine, son visage s'approchant du sien dans une proximité malsaine car les murmures ne résonnent que de haine et de désamour — Tu me dégoûtes. en promesse assassine, le dépassant, ne réussissant plus à cacher son mépris, ce sentiment dégoulinant comme du formol sur son cœur suspendu dans le vide. Les pas fracassent le sol, aiguilles pourpres se mêlant au sol qui étouffe ses pas avant qu'elle ne s'abandonne au trépas, remontant les alcôves jusqu'au bureau du roi. Elle s'y engouffre, trouvant la pièce qu'elle ne connait que trop bien, l'apprenant par cœur comme pour y trouver un échappatoire. Les bras se croisent, moue boudeuse et fermée, errant de son pas lent sur le sol vernis, sans le regarder, le loup solitaire. — Bon tu veux quoi ? Y'en a qui doivent bosser. fielleuse car elle se hait de devoir céder aux caprices du couronné, résistant tant bien que mal à cette malade envie de le supprimer.
si la rose.
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